“Quoi de neuf ?” “Ya-t-il du nouveau ?” “De nouvelles informations ?” C’est ce que chuchotent quotidiennement les partisans. Et le plus souvent la réponse est aussi étrange que la question : “pas assez pour être rassuré“.

“Quoi de neuf ?” “Ya-t-il du nouveau ?” “De nouvelles informations ?” C’est ce que chuchotent quotidiennement les partisans. Et le plus souvent la réponse est aussi étrange que la question : “pas assez pour être rassuré“.
Du temps de Ben Ali et même du temps de Bourguiba, la scène politique était presque déserte. Un seul protagoniste avait le droit d’exister et de dominer l’arène vide de toute compétition. Il s’agissait du parti au pouvoir qui, de par son hégémonie…
Ces derniers temps, on a vu naître un vrai malaise au sein du PDP. Les options et les orientations des dirigeants de ce parti ont fait que l’implosion ne pouvait plus être évitée. Cette progression inexorable vers ce constat amer était prévisible.
Monsieur le Ministre, vous avez en charge les droits de l’homme, et pour en avoir eu aussi la responsabilité, à mon niveau, au sein de l’ambassade de Tunisie, outre ma fonction de Conseiller social, de 1992 à 1995, je sais de quel poids pèse pareille noble mission
En économie, par exemple, ce problème modélise bien les questions de politique tarifaire : le concurrent qui baisse ses prix gagne des parts de marché et peut ainsi augmenter ses ventes et accroître éventuellement son bénéfice.
Le CPR et le Takkatol s’enlisent chaque jour un peu plus dans leurs querelles d’egos et dans leurs luttes intestines, se détournant ainsi d’une des missions essentielles a mon humble avis pour laquelle une bonne partie de leur électorat les a investis de sa confiance.
En votant le 23 octobre 2011, beaucoup aspiraient à un changement radical qui rendrait la dignité, les droits et la pleine citoyenneté aux Tunisiens, à travers une politique éthique en rupture définitive avec les pratiques mafieuses du régime déchu.
Comme prévu, Ennahdha n’a pas tardé à nous sortir une nouvelle trouvaille, pour nous lancer dans d’interminables polémiques susceptibles de détourner notre attention des priorités, et de retarder d’une façon ou d’une autre le travail de la constituante.
En cette Tunisie postrévolutionnaire où tout — le meilleur comme le pire — demeure possible, Tunis est aujourd’hui le Paris de demain, Paris que magnifiait le cri du général de Gaulle, au lendemain de la Libération, et que je plagierai volontiers : “Tunis torturé, Tunis assiégé, Tunis libéré… “
Le matin du 9 Avril, je me rends en famille à rue Habib Bourguiba, pour prendre un café sur la place. Bien sûr, on savait qu’une manif était prévue et on comptait y participer à rue Mohammed Ali. Une demie heure plus tard, un peu avant 10 heures
La relation entre la gauche tunisienne et le Rcd ne date pas d’aujourd’hui. C’est une vieille histoire d’amour qui resurgit au gré des évènements. Elle a toujours été perceptible sous plusieurs aspects. Longtemps amenée à vivre dans la clandestinité, elle refait surface après la révolution.
Le tunisien moyen qui croule sous ses problèmes quotidiens, se trouve dans l’obligation de faire un choix décisif pour l’avenir du pays. Sauf qu’il est face à un jeu politique truqué, où la sentence de la dictature est donnée. Le condamné aura seulement le droit de choisir son bourreau: Ennahdha ou le RCD.
Heureusement, parmi ce qui nous caractérise comme tunisiens est un certain sens de l’humour … très tunisien. Nos blagues sont souvent un indicateur de l’humeur collective et une traduction de notre état d’esprit. Avant la chute de Ben Ali, la créativité humoristique en Tunisie était à son comble.
Autres temps, autres mœurs, une maxime qui se vérifie de plus en plus chez nous, avec l’avènement de la dictature de la médiocratie. Ennadha est au pouvoir : je change mon fusil d’épaule. Sinon comment peut-on comprendre l’attitude de certains apprentis journalistes et médias inféodés qui saluent et rendent hommage à la position d’Ennahdha qui a fini par opter à la reconduction de
Loin d’être un fait divers, l’arrivée ces derniers jours à Tunis d’un énième prédicateur radical, recherché dans plusieurs pays pour sa collaboration active avec la mouvance islamiste internationale […]
D’après le coran, les associateurs sont les champions du monde toutes catégories du mensonge. Le plus marrant est qu’ils n’en ont pas conscience puisqu’ils réussissent à se mentir à eux même (6-23 à 6-24). […]
Je vous avais déjà adressé une lettre ouverte dans la langue du Coran et, à la suite du souhait de Nawaat de la traduire à l’intention de ses lecteurs francophones, j’ai choisi d’en reprendre les thèmes dans une nouvelle lettre confirmant […]
La définition du mot élite est universellement connue pour désigner un groupe de personnes qui se distingue par des qualités supérieures au reste de la société. En Tunisie, l’histoire l’écrira certainement, depuis le 17 Décembre 2010, la distinction est à mettre au crédit du peuple.