Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires sociales en charge des intérêts de nos expatriés a récemment brossé les grandes lignes de son plan d’action future à destination de cette part importante des citoyens tunisiens.

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires sociales en charge des intérêts de nos expatriés a récemment brossé les grandes lignes de son plan d’action future à destination de cette part importante des citoyens tunisiens.
La vague de violences qui a secoué plusieurs quartier du Grand Tunis hier soir, nous amène à nous poser de nombreuses questions qui est derrière tout ça ? La concomitance des évènements ne doit en aucun cas laisser croire qu’il s’agit d’un seul parti qui tire les ficelles.
L’affaire Jalal Brick met à nu la crise d’hypocrisie qui frappe les internautes tunisiens, les progressistes et certains opposants. Ici je vais me consacrer exclusivement à cette catégorie en oubliant ses détracteurs classiques, dont la réaction est somme toute assez logique.
En 1895 Gustave Le Bon publia un livre intitulé “Psychologie des foules” qui allait avoir une grande importance dans l’histoire des sciences sociales et dans celle des mouvements politiques. Cette oeuvre que l’on dit inclassable annonçait l’avènement de l’ère des foules et proposait une analyse de la psychologie de ces dernières.
Votre article est un tissu de mensonges qui ne trompe que ceux qui sont mal informés et ne nous connaissent pas. En tant que Tunisien, vous devriez être fier qu’un de vos compatriotes dirige IC Publications, le premier groupe de presse panafricain anglophone et le deuxième dans le monde francophone.
Le visa biométrique est devenu une réalité incontournable aujourd’hui malgré toutes les appréhensions que suscite le procédé biométrique lui-même auprès des combattants des libertés attachés à un certain sens de la dignité humaine.
M. Zitoun, conseiller au sein du Premier Ministère et de ce fait ministre lui-même, exige de moi que je parle arabe car, selon lui, je travaille pour un média arabe. Le fait est que je travaille pour un média à l’image des tunisiens : polyglotte…
Une centaine de jours. Un laps de temps, dit délai de grâce, accordé à un gouvernement fraîchement mis en place et, traditionnellement, présumé utile pour évaluer la tâche réellement accomplie par ce gouvernement, au regard de sa déclaration de politique générale
Notre révolution du 14 janvier 2011 ou du 17 décembre 2010 selon les points de vue, fut une révolution dont les principales demandes furent la liberté et la dignité du citoyen tunisien, elle a pris son cours depuis les élections du 23 octobre…
“Quoi de neuf ?” “Ya-t-il du nouveau ?” “De nouvelles informations ?” C’est ce que chuchotent quotidiennement les partisans. Et le plus souvent la réponse est aussi étrange que la question : “pas assez pour être rassuré“.
Du temps de Ben Ali et même du temps de Bourguiba, la scène politique était presque déserte. Un seul protagoniste avait le droit d’exister et de dominer l’arène vide de toute compétition. Il s’agissait du parti au pouvoir qui, de par son hégémonie…
Ces derniers temps, on a vu naître un vrai malaise au sein du PDP. Les options et les orientations des dirigeants de ce parti ont fait que l’implosion ne pouvait plus être évitée. Cette progression inexorable vers ce constat amer était prévisible.
Monsieur le Ministre, vous avez en charge les droits de l’homme, et pour en avoir eu aussi la responsabilité, à mon niveau, au sein de l’ambassade de Tunisie, outre ma fonction de Conseiller social, de 1992 à 1995, je sais de quel poids pèse pareille noble mission
En économie, par exemple, ce problème modélise bien les questions de politique tarifaire : le concurrent qui baisse ses prix gagne des parts de marché et peut ainsi augmenter ses ventes et accroître éventuellement son bénéfice.
Le CPR et le Takkatol s’enlisent chaque jour un peu plus dans leurs querelles d’egos et dans leurs luttes intestines, se détournant ainsi d’une des missions essentielles a mon humble avis pour laquelle une bonne partie de leur électorat les a investis de sa confiance.
En votant le 23 octobre 2011, beaucoup aspiraient à un changement radical qui rendrait la dignité, les droits et la pleine citoyenneté aux Tunisiens, à travers une politique éthique en rupture définitive avec les pratiques mafieuses du régime déchu.
Comme prévu, Ennahdha n’a pas tardé à nous sortir une nouvelle trouvaille, pour nous lancer dans d’interminables polémiques susceptibles de détourner notre attention des priorités, et de retarder d’une façon ou d’une autre le travail de la constituante.
En cette Tunisie postrévolutionnaire où tout — le meilleur comme le pire — demeure possible, Tunis est aujourd’hui le Paris de demain, Paris que magnifiait le cri du général de Gaulle, au lendemain de la Libération, et que je plagierai volontiers : “Tunis torturé, Tunis assiégé, Tunis libéré… “