Rights 960

الحركة النقابية التونسية بين فكي كمّاشة : العـشائرية والبيروقراطية

هناك مسألة تستدعي البحث والتمحيص المعـمقين في واقع الحركة النقابية اليوم، وهي مسألة المحاولات الحثيثة لإحياء النزعة العـشائرية من جديد، ومحاولة جعـل التعـبيرات المنبثقة عـنها تتصدر المواقع الأمامية والأولى في صلب الاتحاد العام التونسي للشغـل. لذلك سنحاول هذه المرّة التطرق لهذا الأمر من خلال البحث عـن دواعي عـودة هذا التوجه في العـشرية الأخيرة، وكيفياته، من خلال لحظتين مؤسستين، هما: مؤتمر جربة (2002)، مؤتمر المنستير (2006).
Affef Bennaceur et son épous Fahem Boukaddous

Tunisie : Le 13 août d’Afef Bennaceur

Il y a aujourd’hui deux femmes incarcérées pour des raisons politiques en Tunisie, quand les prisons comptent des milliers d’hommes. Il n’en a pas toujours été ainsi. Dans les années quatre vingt dix, des dizaines de femmes ont connu l’emprisonnement pour leurs idées. Afef Bennaceur, connue aujourd’hui comme militante contre le chômage, revient sur la décennie passée et sur ses combats actuels.

Fahem Boukaddous lors de ses nombreuses hospitalisation.

Quand le monde tourne à l’envers et la justice tunisienne avec

Le 15 juillet 2010, le journaliste Fahem Boukadous a été arrêté vers 9h30 (heure locale) dans la cour de l’hôpital Ferhat Hached de Sousse, alors qu’il était en compagnie de sa femme. Il a été transféré dans un lieu encore inconnu. Cette interpellation fait suite à la confirmation en appel, le 6 juillet 2010, de la condamnation du journaliste à une peine de quatre ans de prison ferme. Le tribunal d’appel de Gafsa avait rendu sa décision alors même que le journaliste était hospitalisé depuis le 3 juillet dernier pour des problèmes respiratoires.

Censure, Hypocrisie et Etat de droit : Lettre ouverte aux malentendants

Pourquoi une lettre ouverte aux malentendants ? Peut-être parce que les myopes ont déjà tellement du mal à lire. Et que la fracture entre les discours politiques et ce qui se lit et s’écrit sur les supports dits libres, c’est-à-dire électroniques, il n’y a que les myopes qui n’arrivent pas à la voir. Une fracture où l’hypocrisie des discours est le maître mot (I), handicapant la marche vers l’Etat de droit (II). Et la censure dans tout cela s’avère être le révélateur cinglant de nos aberrantes contradictions.