Après la petite éthique, et la grande clinique, il est logique qu’Aymen Daboussi boucle sa trilogie avec une juste logique. Son épatante « Révulsion de l’Œil », fraîchement parue (Dar Al Jamal, 2021), nous en dit tout – ou presque. Lecture.

Après la petite éthique, et la grande clinique, il est logique qu’Aymen Daboussi boucle sa trilogie avec une juste logique. Son épatante « Révulsion de l’Œil », fraîchement parue (Dar Al Jamal, 2021), nous en dit tout – ou presque. Lecture.
Le mode de fonctionnement des aires protégées tunisiennes est appelé à évoluer. C’est ce qui ressort de l’expérience cumulée dans le cadre de leur gestion. L’avenir des espèces animales de nos parcs nationaux est plus qu’incertain si rien n’est fait pour faire évoluer le suivi dans le temps et l’espace.
Alors que le gouvernement tunisien verrouille de nouveau le pays à cause du Covid-19, la situation sanitaire est de plus en plus alarmante. La campagne de vaccination piétine avec seulement 1 million de Tunisiens enregistrés sur la plateforme Evax. Cette 3ème vague fait des ravages, mais d’autres suivront, prédisent des spécialistes interrogées par Nawaat.
Le budget de l’ARP est de 42 million de dinars (MD), dont 78% sont affectés aux dépenses salariales des agents et fonctionnaires du parlement. La loi de finances 2021 n’a pas consacré de budget pour le recrutement d’assistants parlementaires. Entre temps, l’ARP est soutenue par des organisations étrangères, dont le NDI.
Des experts africains appellent à faire toute la lumière sur les agissements de la France dans toutes ses anciennes colonies africaines soulignant qu’ils revêtent le même degré de gravité que ceux commis en Algérie.
Tenue dans le cadre du Nawaat Festival (2 au 4 avril), cette exposition du caricaturiste _Z_ est le fruit d’une longue amitié entre le dessinateur et Nawaat qui militaient ensemble, depuis 2008, contre la dictature de Ben Ali. La présente série est un aperçu d’une collaboration plus récente qui date de 2018: Chaque semaine, Nawaat choisit, selon l’actualité, un personnage public que _Z_ accueille dans son cabinet de caricature psychiatrique. Présidents, ministres, hommes d’affaires, magnats des médias, tous y passent. Même les présidents étrangers se bousculent au portillon du cabinet de _Z_.
La découverte de l’espèce de physalie, présentée comme mortelle pour l’humain, sur les côtes tunisiennes a suscité de nombreuses inquiétudes et interrogations. Cet animal, assimilé à une méduse, présente des dangers. Mais est-il susceptible de gâcher nos baignades cet été ? Et comment s’en prémunir ?
L’ISIE a marqué les dix dernières années de la Tunisie pour avoir piloté pas moins de six élections majeures (une constituante, deux scrutins présidentiels et législatifs, et une élection municipale) qui ont transformé le paysage politique et institutionnel tunisien. Sans parler des opérations que cette institution a été appelée à organiser comme, par exemple, l’élection des membres du Haut Conseil de la magistrature. Elle demeure un sujet d’actualité dès lors qu’on évoque de façon récurrente l’hypothèse d’élections anticipées tant l’instabilité gouvernementale imprègne le climat général du pays.
Pour son 17ème anniversaire, la plateforme médiatique Nawaat vous propose une série d’événements du 2 au 4 avril dans ses nouveaux locaux, sis au 18A, rue de Médine au Belvédère. Des projections et des débats ainsi qu’une exposition et un mini-concert sont au programme, en plus d’autres activités annexes.
Le ministère tunisien de la Santé table sur la vaccination de 50% de la population d’ici la fin de l’année. Encore faut-il convaincre les réticents. Des théories diverses et des craintes multiples persistent quant à l’efficacité et la sûreté des vaccins. Les vaccins sont-ils réellement dangereux ?
L’expérience a été initiée par l’Association Tunisienne des Randonneurs d’Akouda, qui a d’abord tenté d’inventorier les félins dans les parcs de Bou Hedma et Jbil, situés respectivement dans les régions de Sidi Bouzid et Kébili. Voici une partie des résultats obtenus par l’utilisation des caméras détectrices de mouvement, dans le parc de Bou Hedma.
Je peux le dire aujourd’hui, entre Nawel Saadawi et moi, ce ne fut pas le coup de foudre, mais un amour qui s’est construit progressivement. J’ai eu, en cela, beaucoup de chance : comme le veut la sagesse populaire (ou la science statistique), ce sont en effet de pareils commencements qui souvent font l’histoire d’une vie. Ce n’était pas son parcours qui m’interpellait ; il était admirable. Ce qui m’interpellait, c’était qu’elle faisait l’unanimité contre elle.
Ils font l’objet de descentes policières, de limitations de leurs déplacements et de contrôles sur leur lieu de travail. Amnesty International a relevé 30 mille Tunisiens dont les déplacements ont été restreints par le ministère de l’Intérieur depuis 2013. Une procédure menée secrètement, sans aucun fondement juridique, et sans que le public n’en soit informé.
Les zones humides sont une source de vie pour des populations entières. Elles abritent de nombreuses espèces animales et végétales. Leur étendue ne cesse de diminuer au fil du temps, et certaines ne peuvent plus assurer leur fonction de réservoir d’eau notamment pendant les périodes des crues. Or les crues sont de plus en plus à craindre dans un contexte de changements climatiques.
Dans un contexte où les défis et les menaces risquent de mettre en péril le processus démocratique dans son ensemble, un appel au bon sens, à la retenue, à la lucidité s’avère impérieux tant à l’adresse des gouvernements qu’à l’intention des journalistes.
Sélectionné à la 11ème édition de l’Arab Film Days à Oslo, « Black Medusa », premier long-métrage de fiction d’Ismaël et Youssef Chebbi, a été projeté le 11 mars 2021. Retour sur décembre 2019, alors que nous faisions un saut sur le tournage.
La Tunisie, comme la majorité des pays du Sud, s’est fatiguée depuis son indépendance à demeurer indéfiniment « en voie » de développement. Le temps est peut-être venu de chercher un nouveau chemin de modernisation. La pensée d’une alternative à la réalité actuelle s’impose.
Face à la vague de répression qui s’abat sur les Tunisiens allant jusqu’à la mise à mort de deux citoyens et environ 2000 arrestations en deux mois, les craintes d’un retour d’un Etat policier dépassent le stade des appréhensions. Plus de 60 organisations non-gouvernementales ont annoncé hier leur détermination à engager des poursuites pénales contre le chef du gouvernement Hichem Mechichi, également ministre de l’Intérieur par intérim. Et ce, suite aux arrestations arbitraires, agressions et torture subies par des protestataires. Et ces ONG appellent le président Saied à intervenir pour libérer les personnes arrêtées en marge des récentes protestations.