ressources naturelles
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L'article le plus pertinent sur les ressources naturelles parmi ceux que j'ai enregistrés est "Aïn Draham : Retour sur un massacre à la tronçonneuse". Cet article met en lumière l'abattage massif de 400 chênes zeen dans la localité d'Ain Sallam à Aïn Draham, soulignant l'impact sur l'environnement et la nécessité de renforcer les mesures de répression contre les délits forestiers pour préserver les espaces naturels.

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Région trouvées

Kairouan Douz Kef Sejenane Sidi Hassine

Les « welja », une agriculture littorale de conservation vouée à la disparition

Ces superficies cultivées dans des zones aujourd’hui touristiques sont réduites. La faible production est surtout destinée à la consommation familiale. Le surplus est parfois vendu sur les marchés locaux. Aucun produit chimique n’est utilisé dans ces cultures réellement biologiques. Mais cette activité au bord de la mer est vouée à la disparition. Gare à l’appétit des opérateurs touristiques.

Ennahli : La montagne violée par l’immobilier

L’Ariana, la ville des roses, autrefois connue pour sa verdure et ses jardins de l’époque hafside, n’est plus ce qu’elle était. Après la révision du Plan d’Aménagement Urbain (PAU) et l’actualisation de la carte agricole, les espaces verts aux alentours du parc Ennahli ont considérablement rétréci, aggravant les risques d’inondations. Et ce sont les promoteurs immobiliers qui en profitent.

Ain Zana, une réserve naturelle à sauver

Pour ceux qui ne la connaissent pas, la réserve naturelle d’Ain Zana a été officiellement créée depuis 1993. Elle se trouve au nord-ouest de la Tunisie (Jendouba). Elle se caractérise par la présence d’une espèce d’arbre endémique d’Algérie et de Tunisie. Il s’agit du chêne afarès (photo 1) dont la répartition mondiale est limitée uniquement aux deux pays. La réserve couvre officiellement 47 hectares. Le site où les arbres sont concentrés est connu des spécialistes.

Journée Mondiale de l’Environnement : la Tunisie, est-elle sortie de l’auberge ?

Tous les ans, le monde entier fête la Journée Mondiale de l’Environnement, le 5 juin. La Tunisie ne fait pas exception surtout qu’elle est signataire de toutes les Conventions internationales relatives à la protection de l’environnement, dont les principales sont celles relatives à la diversité biologique, à la lutte contre la désertification, contre les changements climatiques… Parmi les Conventions régionales, la plus importante est la Convention de Barcelone, relative à la protection de la Méditerranée à laquelle sont joints de nombreux protocoles.

Biodiversité en Tunisie: raréfactions inquiétantes et explosions de l’exotique

La Tunisie n’échappe pas, comme le reste du monde, à la raréfaction voire à l’extinction des espèces naturelles qui s’y trouvent. Parallèlement à cette disparition annoncée, l’extension des espèces exotiques ne cesse de s’étendre. Dans cet article, nous présentons des cas de raréfactions d’espèces connues en Tunisie, des causes majeures de cette situation et appelons à la limitation de l’extension des espèces exotiques, notamment végétales.

Quel avenir pour les aires protégées en Tunisie ?

Les aires protégées créées en Tunisie constituent indéniablement un acquis pour la préservation de la biodiversité qu’elles abritent. Depuis la création de la première aire protégée en 1977 jusqu’aux plus récentes vers la fin des années 90, des leçons peuvent être tirées pour que ces espaces jouent pleinement leurs rôles en matière de conservation.

La biodiversité, un patrimoine commun ?

Au cours des dernières années, nous avons observé avec consternation l’apparition de certaines pratiques qui ne vont que dans le sens de la raréfaction de nombreuses espèces animales (par le braconnage) ou végétales (par la destruction délibérée d’écosystèmes entiers). Il faut rappeler que le chardonneret n’égaie plus nos campagnes et que la tortue marine continue à être chassée et sa viande vendue par des pêcheurs sans scrupules. Certains rapaces sont exhibés dans certaines localités pour des photographies payantes.

Culture/Tourisme/Culture : Possibilité et défaillance d’un mariage contre-nature

La culture, et à fortiori la culture d’un pays, cela s’entrevoit. Toutes les données qui font la culture d’une région, d’une surface territoriale, ou d’un continent « x », ne sont pas (exclusivement) les musées et les sites archéologiques. Ce qui fait la richesse de la Tunisie, ne se résument pas, uniquement, à la grande Carthage, aux médinas, kasbah, mosquées, ribat, zaouias, souks, kobba, borj, bab, ou skifa, etc. La culture c’est aussi l’envers du décor.