Y a-t-il des sujets tabous à l’Université ? Pourquoi généralement ose-t-on aborder les questions relatives à la démocratie et ferme-t-on les yeux sur d’autres interrogations qui sont pourtant en rapport avec la démocratie, la bonne gouvernance et la transparence à l’Université ? Est-ce que le militantisme et la défense des valeurs démocratiques peuvent-être dissociés ?
