Deux documents dont Nawaat a pu prendre connaissance démontrent que sous le gouvernement Fakhfakh, l’Etat tunisien a reconnu sa responsabilité dans le litige l’opposant au sujet de la BFT à son actionnaire majoritaire, la société ABCI. Mais n’a pas pour autant changé de stratégie. Le feuilleton judiciaire se poursuit avec une audience aujourd’hui à Tunis.
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