Des personnalités politiques croupissent en prison en vertu d’un « usage abusif » de la loi tunisienne relative à la détention préventive, dénonce Amnesty international en pointant le régime de Kais Saied.

Des personnalités politiques croupissent en prison en vertu d’un « usage abusif » de la loi tunisienne relative à la détention préventive, dénonce Amnesty international en pointant le régime de Kais Saied.
L’échec de l’Algérie à intégrer les BRICS, malgré son poids démographique, géographique, économique et financier, a eu un effet inattendu : il a fait perdre leurs illusions aux «Bricsistes» tunisiens qui rêvaient de voir leur pays y adhérer.
The question is nothing short of provocative in light of the president’s ever nationalist discourse. But the facts remain. As it activates certain elements of policies recommended by the IMF, Carthage appears to be settling into place beneath the wing of its friends to the West.
«Photo or caricature?» However burning the question may be, we will not answer it in the present editorial. Instead, we will leave it to the experts at the Ministry of Culture to weigh the gravity of our «error». What we will acknowledge here is the significance of the incident, an accurate and barefaced representation of the extraordinary (mis)adventures that unfold under Saied’s New Order.
Never has the health of a Tunisian president been the center of so much public attention. The spotlight was on Kais Saied’s physical condition from the moment he announced his candidacy for president. After refraining from commenting on rumors relating to his mental health, the president responded for the first time to remarks about his absence from the end of March through early April 2023.
« Photo ou caricature ? » Nous ne répondrons pas à cette question ô combien brûlante dans cet éditorial. Nous laisserons aux experts du ministère de la Culture le soin de soupeser la gravité de notre «erreur». Cela dit, cet incident reflète d’une manière aussi fidèle qu’éhontée les péripéties caricaturales du Nouvel Ordre Saiedien.
What do the designation of a new prime minister and the public admonition of national television’s CEO have in common? Both highlight President Kais Saied’s new priority to « cleanse » the administration. Envisioned as a means to further consolidate the regime’s grip on power, the planned purge may in fact undermine the fragile web of alliances that is holding it together.
Les Tunisiens dépensent 1 milliard 468 millions de dinars en cours particuliers durant l’année scolaire. Quant aux prix des fournitures scolaires, ils ne cessent de grimper au fil des années. La gratuité de l’éducation s’avère illusoire. Et ce sont les parents et leurs enfants qui en payent le prix.
Each year, thousands of Tunisians attempt the perilous journey across the Mediterranean in order to reach Italy. But dreams of an Italian promised land fall away as migrants are faced with a harsh reality. Once ashore, Tunisian workers enter into a life of precarity.
Des milliers de Tunisiens tentent chaque année la périlleuse traversée de la méditerranée pour rejoindre l’Italie. Mais les rêves d’Eldorado italien virent vite au cauchemar. Les travailleurs tunisiens vivent en effet dans une précarité multiforme.
La question peut sembler provocante, compte tenu du discours souverainiste de Kais Saied. Mais les faits sont têtus. A bien des égards, Carthage paraît s’ancrer dans le giron occidental, en mettant au moins partiellement en œuvre la politique préconisée par le FMI.
After having left government to the task of establishing a program to eliminate subsidies for basic goods, President Kais Saied has switched gears.