Opposition 175

Le gouvernement des perturbations publiques doit partir

Nous avons assisté à une révolution d’une fierté, d’une dignité et d’un patriotisme inégalés. Ce cri, cette clameur audibles sur le globe entier appelaient à la restauration d’une dignité et d’une liberté confisquées à la Tunisie entière. Toutes les classes sociales sans exception aucune se sont révoltées contre la dictature obscure d’un pantin manipulé par une mante religieuse, le tout relayé par un système gangréné dont quelques rares rouages ont été épargnés.

Tunisie. 1984

L. Yezzi n’aurait certainement jamais existé. Je suis le pur produit de nawaat.org (j’y ai mis les pieds pour la 1ère fois alors que j’étais en seconde suite à un article sur le crash de l‘ATR42 de Tuninter), je n’ai plus jamais quitté le milieu de la dénonciation des abus de la dictature (ou de la dictature itself). Je n’ai pourtant aucun opposant dans ma famille mais agir c’est mon dada, surtout quand c’est utile et porteur de quelque chose de concret.

L’impasse tunisienne

Nous sommes dans le kaka. Nous sommes acculés à revivre ce mauvais film telle une damnation jetée par le ciel sur la Tunisie. Pitié que l’on cesse de nous rabâcher que le régime est à l’image de son peuple et que la “mentalité” arabo-musulmane nous condamne à cette éternelle soumission.