L’avenir proche dira si cette persévérance de Moncef Marzouki finira par payer, quoique la salle pleine de samedi laisse augurer de la garantie d’une valeur électorale sûre. Plusieurs facteurs et variables demeurent néanmoins inconnus, comme la rivalité du parti Attayar de Mohamed Abbou qui opère dans le même créneau de la gauche sociale, l’autre rivalité, depuis dimanche, de Hamadi Jebali, qui entend lancer son propre font politique et civil, ou plus généralement l’ombre du CPR, même si les visages familiers de l’ancien parti présidentiel se faisaient discrets samedi.
