Derrière une lutte acharnée de deux titans du paysage politique post-révolution, ce sont aussi des idéologies qui s’affrontent de façon plus classique, plus authentique, dans un pays où le débat d’idées a été étouffé pendant des décennies.

Derrière une lutte acharnée de deux titans du paysage politique post-révolution, ce sont aussi des idéologies qui s’affrontent de façon plus classique, plus authentique, dans un pays où le débat d’idées a été étouffé pendant des décennies.
C’est en m’inscrivant dans la droite ligne du coup du coeur de Farhat Hached, notre inspirateur et modèle à tous, amis amoureux du peuple et du pays, compagnons de la lutte de tout Tunisien patriote pour une Tunisie paisible et prospère, que je vous adresse ce message qu’aurait pu vous livrer notre amour de grand patriote dont je porte fièrement et le prénom et les idéaux, outre l’origine insulaire.
Il s’agit d’un message privé sur FB, écrit vers 14h30 à une amie qui me pose la question : comment ça a commencé ? Ma réponse porte sur un instant précis. Elle ne décrit ni ce qui précède, ni ce qui va suivre, ni la nature plus générale de la situation.
Si certains prennent une arme pour tuer leurs soi-disant ennemis, croyant répondre à un ordre divin, d’autres s’acharnent à détruire, au nom de Dieu, tout ce qui se trouve sur leur chemin pour arriver à leur fin, et se maintenir au pouvoir. Pourtant, en aucune manière Dieu ne peut cautionner cette destruction systématique d’une société et de ses acquis, au nom de l’islam
Devant le siège du gouvernorat de Siliana la situation a dégénéré et les policiers ont répondu aux manifestants par des tirs de gaz lacrymogènes avant de tirer sur les manifestants avec des fusils et des munitions de chevrotine, comme s’ils étaient du gibier…
Taoufik Ben Brik attaquant Nawaat.org depuis Business News, un ministre de la Justice, juge et parti, qui nous menace de nous assigner en justice, et Rached Ghannouchi qui dénonce le fanatisme religieux, en réaction à la mort de deux salafistes des suites de leur grève de la faim. Le monde à l’envers ?
Face à l’absence de mise en pratique de certaines promesses du ministère de la santé publique, le syndicat des médecins, dentistes et pharmaciens hospitaliers lance un préavis de grève pour la date du 10 octobre 2012.
L’hôpital régional Hédi Chaker a vécu ces derniers temps au rythme des conflits entre l’administration et le syndicat des techniciens supérieurs de l’hôpital. Ces divergences, au départ anodines ont pris une telle ampleur que les autorités et même armée sont intervenues pour y mettre fin…
Manipulation, calomnie, mensonges à répétition, telle semble être la seule devise de ceux qui nous gouvernent. Le gouvernement et la troïka avec cette attitude sont entrain de creuser leur propre tombe. Croient-ils réellement pouvoir tromper les gens avec ces petites manigances et ficelles bien connues?
[…] Je cours pour m’interposer avec eux. C’est une femme qu’on fini par relever et emmener. Les manifestants reviennent plus ou moins en force sur l’avenue en jetant des projectiles. Les flics après avoir renvoyé des projectiles et avoir lâché du gaz lacrymogène chargent à nouveau : ils sont des dizaines et attaquent tout le monde et de partout. Je me dirige alors en marchant lentement vers la rue Kamel Attaturk. Des gens courent de partout, il est difficile de s’y retrouver étant donner qu’un grand nombre de policiers sont en tenue « civile ». […]
Le 20 février 2012, suite à la déclaration de l’UGTT selon laquelle Ennahdha serait derrière le dépôt des ordures devant son local à Tunis, plusieurs locaux de l’UGTT, ces endroits sacrés pour une bonne partie des Tunisiens, ont été attaqués dans plusieurs régions. […]
Sur le principe -et en ce moment précis de l’histoire de la Tunisie-, faut-il exclure ceux sur lesquels Ben Ali s’est appuyé pour violer la République et ses rouages démocratiques, et ce, pendant 23 longues années ? Indiscutablement oui pour éviter tout risque que ladite République renaissante ne bascule à nouveau vers l’infamie. Néanmoins, une question se pose : où commence l’exclusion et où s’achèvera-t-elle ?
Par Yacine Jeloui – Cet appel aurait pu s’intituler « J’accuse ! ». Mais trop d’entre nous se sont contentés jusqu’à présent de la critique. Or notre objectif collectif est la construction de la Tunisie de demain. Les querelles, les accusations, et s’appesantir sur le passé ne constituent pas une voie vers cette construction. Aussi, je serai constructif et j’appelle.
Par Chedly Ben Salem. Bilan des grèves : 10 milles emplois perdus, 120 entreprises liquidées !! Aucun pays au monde […]
Par Oussama Ketatni. Après la démission du gouvernement de transition et la nomination du respectable Béji Caid Essebsi, l’opposition a […]
Par Hassen Bh. Monsieur Jrad, vous vous voulez le père de la révolution des tunisiens. Et pourtant le 13 Janvier […]
De plus en plus nombreuses sont les voix qui s’élèvent chaque jour pour prôner un arrêt immédiat des manifestations et une reprise du travail pour relancer l’économie qui, déclarentils est au bord du gouffre. Aujourd’hui en Tunisie, tout le monde est économiste et les discussions vont bon train, au grand bonheur de l’équipe gouvernementale qui a trouvé là une excellente occasion de détourner l’attention des citoyens de leur révolution.
Il est évident qu’un conseil de la révolution ou un front commun de la révolution est une nécessité pour débloquer […]