Dans le cadre du développement de nos activités, nous recherchons un(e) Chargé(e) de l’innovation et des relations publiques.

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La France pensait avoir accordé à la Tunisie une indépendance de façade, sans conséquences. C’est là où Ahmed Mestiri, à l’époque jeune ministre de 31 ans, va déployer tout son talent et sa persévérance pour «arracher» à la puissance coloniale une souveraineté judiciaire disputée.
Lors d’une rencontre, mercredi dernier, avec le chef du gouvernement et le ministre de la Défense, le président de la République Kais Saied a fait état de 25 plaintes déposées au bureau du parlement concernant des députés soupçonnés d’escroquerie, de trafic de drogue et de contrebande. Maher Madhioub, assesseur du président de l’ARP chargé de la communication, l’a démenti lors d’un point de presse tenu au parlement. Qu’en est-il vraiment ?
Points noirs, décharges anarchiques, ordures éparpillées… les déchets font désormais partie du paysage tunisien et imposent un constat d’échec de leur gestion.
En réaction aux arrestations massives des Palestiniens d’Israël, les membres du réseau des Médias indépendants sur le monde arabe publient ensemble cet article de Majd Kayyal, écrivain et journaliste d’Haïfa. Il appelle à l’unité de tous les Palestiniens contre les coups de boutoir sécuritaires et idéologiques du gouvernement Israélien.
Le dernier livre de Hichem Djaït, «Penser l’Histoire, penser la Religion», permet de décentrer le regard en offrant l’opportunité de s’émanciper définitivement de ce tropisme intellectuel qu’est devenu le concept d’islam mêlé à toutes les sauces. L’occasion de découvrir, par-delà l’univers identitaire étroit, d’autres religions, civilisations et mondes en ébullition. Lecture.
La liberté qui rehausse les fictions nocturnes d’un 14 janvier, en fait une drôle de fresque polyphonique. C’est tout le sel de «Zendali» (Zaineb éditions, 2020), premier roman d’Amine Alghozzi, en lice pour le Prix de littérature de l’Union Européenne 2021.
Zeyneb est partie. Pardon ! Le corps de Zeyneb est parti. Pas sa trace, ou plutôt ses traces. Cette grande dame qui s’est battue sur divers fronts, toujours le verre levé et les rires aux éclats, nous a quitté ce soir. Une lionne est morte ce soir.
Le meurtre de Refka Cherni, tuée par son mari, a suscité une vive émotion dans la société tunisienne. Son assassinat et le calvaire de tant d’autres rappellent une fois de plus que la violence conjugale est endémique, et qu’elle tue parfois. Nawaat a rencontré Sondes, victime de violence perpétrée par son époux. Son parcours et le témoignage des acteurs concernés démontrent qu’une loi inappliquée et une mentalité tolérant la violence ne peuvent enrayer ce fléau.
La Tunisie est revenue à une situation comparable à celle qui prévalait au lendemain de l’indépendance. Tout le dispositif législatif était alors conçu afin de favoriser la mainmise française et européenne sur les pans les plus lucratifs de l’économie. Par leurs ingérences, la France et l’UE se sont particulièrement investies dans ce processus notamment lors des échéances électorales.
Contrairement aux années précédentes, la Télévision nationale a préféré pour ce Ramadan 2021, de ne pas diffuser son feuilleton de prime time sur sa propre chaîne Youtube. En effet, la plateforme Artify a acheté les droits de diffusion de la série El-Harqa sur Internet. La monétisation de la diffusion sur Youtube ne serait-elle pas intéressante pour El Watania?
Nourri du conservatisme majoritaire, l’appareil administratif de l’État continue à bafouer dans une relative indifférence les droits les plus élémentaires des minorités sur la base de textes juridiques obsolètes. Sous prétexte que l’État se doit avant tout de préserver la société des écarts portant atteinte à son équilibre, les libertés individuelles sont foulées aux pieds.
Le membre de la Commission de lutte contre le Covid-19, Riadh Gouider, a déclaré, le 29 avril, que la Tunisie enregistre actuellement le plus grand nombre de morts causés par le virus par million d’habitants à l’échelle mondiale. La situation dans le pays serait, selon lui, plus catastrophique qu’en Inde, un pays ravagé par le Covid-19. Qu’en est -il vraiment ?
Après s’être attelé à déconstruire le corps masculin en s’attaquant aux structures, Mejri donne maintenant l’impression d’un peintre qui se refuse au choix. Cynique, peut-être. Inflexible, à coup sûr. Et comme indifférent. Tenue à la station d’art B7L9 au quartier de Bhar Lazrag au nord de Tunis, son exposition « States of Exception » dont le vernissage a eu lieu le 25 mars prendra fin le 2 mai.
Pour célébrer son 17ème anniversaire, Nawaat a lancé son propre festival. Tenu du 2 au 4 avril dans ses locaux au quartier du Belvédère à Tunis, l’événement a attiré des centaines de visiteurs. Des projections des documentaires « Non grata » et « Génération Manich Msamah » et des débats ainsi qu’une exposition de -Z- et un mini-concert de Badiaa Bouhrizi ont été au programme.
Après la petite éthique, et la grande clinique, il est logique qu’Aymen Daboussi boucle sa trilogie avec une juste logique. Son épatante « Révulsion de l’Œil », fraîchement parue (Dar Al Jamal, 2021), nous en dit tout – ou presque. Lecture.
Le mode de fonctionnement des aires protégées tunisiennes est appelé à évoluer. C’est ce qui ressort de l’expérience cumulée dans le cadre de leur gestion. L’avenir des espèces animales de nos parcs nationaux est plus qu’incertain si rien n’est fait pour faire évoluer le suivi dans le temps et l’espace.
Alors que le gouvernement tunisien verrouille de nouveau le pays à cause du Covid-19, la situation sanitaire est de plus en plus alarmante. La campagne de vaccination piétine avec seulement 1 million de Tunisiens enregistrés sur la plateforme Evax. Cette 3ème vague fait des ravages, mais d’autres suivront, prédisent des spécialistes interrogées par Nawaat.